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Monsieur Dédé, sa chatte et les clubs français sur la scène européenne : " J'peux quand mêm


En cette dernière semaine d'été indien avant le passage à l'heure d'hiver, les résultats des clubs "français" dans les différentes rencontres de football-business européen ont été aussi désopilants que cette satanée mesure de l'ancienne Monarchie giscardienne.


Que le championnat de Ligue1 ne soit pas le plus relevé des différentes arènes européennes dans le genre est une évidence structurelle masquée, tant bien que mal, au moment de l'attribution des fameux droits télés.

Pire, cette déliquescence s'opère aussi contre des adversaires chypriotes, danois, ukrainiens, russes...avec tout le respect que j'...et patati et patata, bien sûr.


Quelle que soit l'époque, les clubs "français" n'ont masqué leur faiblesse structurelle que grâce à des aventures, certes sympathiques, mais très ponctuelles (Reims, Saint-Etienne, Bastia, Marseille, Paris, Monaco, Lyon, Bordeaux...).

La densité et la régularité n'ont, en revanche, jamais été le dénominateur commun des saisons européennes ; n'oublions jamais, non plus, que le RSC Anderlecht (Belgique) possède, à lui seul, plus de trophées européens que tout le football-business "français" réuni.


Les causes sont multiples mais notre cher "Dédé national" nous a encore montré un des chemins incontournables cet été. N'en déplaise aux partisans de la victoire à tout prix, les amoureux de la balle aux pieds, dont je fais partie, ont trouvé le spectacle assez peu enthousiasmant mais il en va ainsi de l'évolution du jeu entre les nations bien moins palpitant que celui entre les "entreprises-clubs". En revanche, la clef du succès reste la même, indépendamment des alternatives de choix technico-tactiques : le dépassement de soi au service d'un Bien commun, la discipline collective et l'absence de renoncement quelle que soit l'évolution du score des rencontres.

Ces ingrédients qui ont permis la réussite du "groupe à Dédé" restent le point d'orgue de toutes les joutes européennes quels que soient les budgets et les époques.


Le slogan "le changement, c'est maintenant" ayant déjà montré toutes ses limites, il ne reste plus que l'hologramme de Dédé et/ou de sa chatte pour nous sortir des ornières.











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